Les Bons garçons, Pierre Adrian -7,70 €
Ne vous fiez pas à la douceur italienne... C'est une histoire qui démarre piano piano ! De jeunes bourgeois romains font des avances aux jeunes femmes des quartiers populaires : l'été, la drague, la chaleur, la bagnole, la liberté et puis tout bascule de façon terrible. Inspiré d'un fait divers tragique qui continue de marquer l'Italie, Les Bons garçons témoigne de la formidable capacité de Pierre Adrian à raconter des histoires complexes.
La Serpe, Philippe Jaenada - 9,50 €
Il faut le dire quand c'est le cas : ce roman est un chef d'oeuvre, ni plus ni moins. Le style, d'abord, est incomparable et inégalé : nul autre que Jaenada pour nous faire rire tout en traitant de crimes affreux, pour nous entraîner dans une phrase à rallonge sans jamais nous perdre. Par ailleurs, Jaenada ne se contente pas d'écrire un roman : il mène une véritable enquête, 50 ans après les faits, et résout un crime. Qui dit mieux ?
Mediator, un crime chimiquement pur, Éric Giacometti, Irène Frachon, François Duprat - 23,95 €
Très exhaustive, cette bande dessinée reproduit fidèlement la folle chronologie d'un scandale tentaculaire. Révoltant à bien des égards, ce long combat est riche d'enseignements sur notre rapport aux médicaments, mais aussi sur notre système judiciaire et les compromissions de notre personnel politique...
Un long voyage, Danslecieltoutvabien - 22 € Dès 5 ans
Vous allez découvrir une expédition familiale époustouflante ! Une fresque préhistorique d'une grande beauté. L'aventure ici, sera la lecture attentive des détails qui écrivent l'histoire.
Une nuit au jardin, Anne Crausaz -20 € Dès 3 ans
Nous sommes tous fascinés par ces petits êtres lumineux ou bruyants, qui animent les profondeurs de la nuit. L'illustratrice nous y plonge avec finesse, à la poursuite de cette vie minuscule et captivante et parfois même... effrayante. Approchez-vous, braves gens, discrètement.... et voyez !
Ô nuit ô mes yeux, Lamia Ziadé - 39 €
Que ce livre est beau ! A commencer par les dessins de Lamia Ziadé, emprunts d'une douce mélancolie. Et par les vies qu'il raconte : celles de ces divas qui ont fait rayonner le monde arabe de la première moitié du XXe siècle. Qu'elles étaient éclatantes ces nuits arabes où résonnaient - à Beyrouth, Damas, Le Caire, Jérusalem, Haïfa … - les voix de ces femmes au destin souvent tragique. C'est, enfin, un chant d'amour au Moyen Orient qui, depuis, s'est vu sombrer dans les crises et les conflits. Vous l'avez compris : Ô nuit ô mes yeux est une merveille.
Comments